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Robert Belvaux (1904-1967)
Né le 18 octobre 1904 à Paris (12e), Ingénieur-dessinateur, Robert Belvaux fut, jusqu’à la guerre, sous-chef d’un bureau d’études techniques chez Gaumont.
Syndiqué depuis l’âge de dix-huit ans, il adhéra à la Section Française de l’Internationale Ouvrière (SFIO) en 1931. Il se trouvait à Paris lors de la débâcle en tant qu’affecté spécial dans l’armement. Dès août 1940, il entra, par l’intermédiaire d’un camarade de Vincennes, dans un groupe appelé Combat qui se réunissait près du boulevard Voltaire.
Fin 1940, il rencontra Gaston Allemane, qui lui annonça que l’on était en train de reconstruire la SFIO. Il fit partie de la Commission exécutive fédérale clandestine, rétablie en 1941, et fut chargé de reconstituer les sections de vingt-quatre communes de la banlieue Est. Cette tâche ne fut pas sans difficulté. À Drancy, il dut dissoudre deux fois la section parce que des mouches s’y étaient glissées. Il fut élu membre du comité exécutif fédéral lors du deuxième congrès de la Fédération SFIO de la Seine (1er novembre 1944).
En 1943, il fut chargé d’assurer la liaison dans le canton de Nogent (Seine, Val-de-Marne) pour la diffusion du Populaire clandestin. Sous le nom de Belair, il appartint à Libération-Nord, où il était chargé de la banlieue Est. Robert Belvaux commanda aussi le troisième bureau de l’État-major du dépôt des Forces Françaises de l’Intérieur (FFI), fusion des principaux groupements militaires de la résistance intérieure.
Président du Comité local de libération du Perreux et de la Délégation spéciale, il fut Maire de la commune de 1944 à 1947 et de 1953 à sa mort, après avoir été Conseiller municipal minoritaire de 1947 à 1953 dans une municipalité RPF.
Il fut élu Conseiller général, en 1945, dans le premier secteur cantonal de la Seine (Sceaux-Est, cantons de Montreuil, Vincennes, Nogent-sur-Marne, Saint-Maur-des-Fossés et Charenton-le-Pont) sur la liste socialiste et réélu le 17 mai 1953. Au Conseil général, il fut président de la commission mixte des Transports de 1953 à 1959, membre de la première commission et Vice-président du bureau en 1949-1950. En mars 1951, après la démission de Gaston Gévaudan, il fut à nouveau élu vice-président du bureau.
Une place (située face à la gare de Nogent / Le Perreux) porte son nom, ainsi que la piscine Robert-Belvaux qu’il aura fait construire.
Robert Belvaux était chevalier de la Légion d’honneur (décoration décernée début 1947) et médaillé de la Résistance (décoration décernée en décembre 1946).
Il décède le 4 mai 1967 à Bry-sur-Marne. Il repose au cimetière du Perreux avec sa mère Marthe Belvaux ainsi qu’auprès de son épouse aimée Alice Belvaux, née Calista Boureme.