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Pauline Gourlet, veuve Bontemps (1858-1940)
C’est à l’âge de 24 ans, en 1882, que Pauline Gourlet, fille de fabricants de chaussures, se marie à Alexandre Bontemps.
Entre 1882 et 1886, les parents de Pauline se retirent à Nogent-sur-Marne, quartier du Perreux. Louis-François Gourlet, le père de Pauline, fit partie du Conseil Municipal du Perreux, dont le premier fut constitué le 28 février 1887. Il décède en 1898, un peu moins d’un an avant son gendre. À la tête de l’entreprise familiale de plomberie-couverture, celui-ci meurt en 1899 alors qu’il vivait à Paris (dans le 16e arrondissement) avec son épouse et leur fils Maurice, alors âgé de 16 ans.
En 1918, Maurice, le fils de Pauline, meurt après avoir contracté une double pneumonie dans les tranchées au cours de la Grande Guerre. Il avait décrété qu’« en cas de décès, ses biens reviendraient à sa mère, mais qu’à la mort de celle-ci, tout reviendrait à la commune du Perreux ».
Pauline Gourlet, veuve Bontemps, avait perdu sa mère en 1908. Elle se retrouva de ce fait seule, sans ascendant ni descendant, à la tête d’un capital immobilier conséquent. De son vivant et pour honorer les volontés de son fils défunt, Pauline fit don à la commune de tous ses biens immobiliers, à charge d’établir une maison de retraite dans son immeuble situé au 117, avenue Ledru-Rollin et de lui servir une rente viagère.
Le Conseil Municipal du 16 juillet 1937 acceptera cette donation qui sera entérinée par décret du 6 juin 1938. Pauline Gourlet, veuve Bontemps, décèdera le 10 janvier 1940 à Mer (Loire-et-Cher).
Le corps fut rapatrié dans le caveau familial du cimetière du Perreux, sépulture acquise en 1898, lors du décès de son père.
L’EHPAD existe toujours et accueille 84 résidents en son sein.